Vous connaissez ces patients qui vous parlent de bonnes douleurs lorsque vous leur massez les épaules et le cou ? Pas trop evidence-based-practice tout çà. Et vous continuez quand même à le faire ? Pas sérieux. Et pourtant… des modifications cliniques et physiologiques peuvent s’observer.
Objectifs
Cette étude examine l’impact d’une séance de massage (les auteurs parlent de thérapie manuelle, mais nous n’allons pas relancer le débat…) sur des évaluations physiologiques comme l’excitabilité du motoneurone alpha (réflexe de Hoffman sur le fléchisseur radial du carpe**), l’activité musculaire du trapèze supérieur lors d’une activité maximale (levée d’une barre d’haltérophile, sujet assis), les amplitudes articulaires cervicales lorsqu’elle est comparée à un «touché léger» et une absence de prise en charge.
Procédure
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