
Les articulaires postérieures sont des sources potentielles de lombalgie, mais il n’existe pas de tests cliniques permettant de les identifier à coup sûr comme telles.
Cet article présente un algorithme décisionnel pour guider le raisonnement clinique des praticiens et les aider à identifier les patients présentant des douleurs mécaniques émanant probablement des articulaires, susceptibles de répondre positivement à la mobilisation passive ou la manipulation.
Les auteurs considèrent qu’il existe des souffrances en convergence ou en divergence articulaire, et/ou des limitations en convergence ou en divergence (la convergence est supposée augmenter la pression intra-articulaire, à l’inverse de la divergence).
Ils partent plutôt du principe que le mouvement limité correspond au mouvement douloureux (l’inclinaison latérale G est douloureuse, les amplitudes en inclinaison latérale G sont diminuées). Ils considèrent que la rotation G accompagne l’inclinaison latérale D en extension, que la rotation G accompagne l’inclinaison latérale G en flexion.
En se basant sur l’expérience clinique, trois points clés vont déterminer le type de dysfonction articulaire :
La provocation de symptômes lors de mouvements passifs combinés :
Extension et flexion combinés à l’inclinaison latérale sont les mouvements primaires, la rotation étant le mouvement destiné à majorer la provocation de la douleur. Une diminution de l’amplitude du mouvement est aussi remarquée.
Le type de douleur mécanique :
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